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Mlle E  B.

27 juin 2008

Fly on the wind of love, fly baby fly !

Si je prétendais contrôler mes actes à l'infini, je ne pourrais plus avoir de désir.

Something's break up.
END.

  Fall in love too easily, He loves me and I'm sure He's mine. Finish, what else ?

CECI MARQUE LA FIN DE CE BLOG.
UNE PAGE SE TOURNE, L'AMOUR PASSE C'EST COMME TOUT, CELA PREND DU TEMPS.

Prête à aimer, autrement. Et c'est repartit.

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11 juin 2008

Soulagement

Une grosse bouffée de plénitude, de bonheur, de plaisir, de rires, de nous avant une grosse montée d'angoisse.

Parfait.
Je suis prête.

8 juin 2008

Et de deux. Je suis au club et je ne sais plus

Et de deux.

Je suis au club et je ne sais plus vraiment s'il me parle ou s'il m'ignore, en tout cas lors de la pause clope il décide de partir, fait un aurevoir discret aux personnes présentent et file vers la place, place où nous passions lors de notre " re " - je ne sais quoi. Ayant désormais perdu tout intérêt à rester croupir au club, je file avec " Ben ". Nous nous dirigeons vers la place je ne sais pourquoi. Et là, mon monde s'arrête.
Le voilà, non pas partit dans ses montagnes, mais s'affichant de façon grotesque avec une " bonne " blonde - vous savez la blonde péroxido-liftée-californienne-parfaitement baisable - et rentre dans ce bar le M ancien QG des nazis de T ( petite touche historique ).
Ben est là et je lui crache ma colère, ma haine, ma peine en pleine figure... Ceux qui me connaissent savent qu'il n'est pas simple de me contrôler dans ces situations. Je décide, vexée par les regards emplits de compation de tous ceux qui savent que, et file vers le club avec Ben. Là, j'allume une cigarette, l'objet in-dis-pen-sa-ble pour garder un minimum de crédibilité et d'assurance... Pour pas chouiner quoi. Mon prof d'allemand [ ? ] est en panne avec sa voiture et farfouille sous son capot malgrès ses pantalons pincés toujours
impeccables, et tout ça avec une grande ferveur. Je m'échappe, la haine et la honte me font marcher vite, si vite que j'en perds Ben qui me rejoindra à destination. J'arrive sur la place et allume un autre cigarette en fixant hargneusement la porte du M, prête à leur bondir dessus telle une bête sauvage
. Ben arrive et me conseille de m'asseoir, je serais plus discrète et par conséquent j'aurais l'air moins folle. J'acquiesce, il est fort ce Ben quand même, toujours le petit truc que l'on croit inutile mais qui fianelement porte ses fruits.
Dieu devait avoir une dent contre moi ce jour-là. De l'autre côté du banc, étaient assises les M, oui oui elles. Le regard de ses filles qui savent après quoi je cours. Blessure suintante. Je me retourne après un dernier coup d'oeil furtif qui ne m'offrira aucune information, aucune bribe d'image.
Soudain je me retrouve debout à l'intérieur de l'Europe, toujours accompagnée de Ben, toujours suivie par les M qui sont toujours là, derrière moi à épier chacune de mes réactions animales. Je comprends l'expression " faire son cirque ", c'était vraiment ça, j'étais inhumaine, sauvage, guidée par mes instincts premiers.
Je meurs. Une blonde aux boucles de princesse digne d'un Disney des plus somptueux, En jupette les mêmes que j'avais en CP, vous savez les écossaises là. Elle était agrippée à son bras, amourachée aux bras du Mien. Scène trop brutale émotionnellement. Je me réveille.

Pour une fois que je fais des rêves, ils sont inssuportables, serais-je hantée ?

7 juin 2008

Je suis sur un cheval, qui marche. J'essayais

Je suis sur un cheval, qui marche. J'essayais d'attraper sa "laisse" ( le machin en cuir qu'il a dans la bouche ) mais sans succès heureusement quelqu'un est à coté de moi et me la donne. Puis je passe dans la rue à droite de l'épicerie au galop et soudain j'arrive sur une énorme place de parking en sable où se trouvent, affalés dans un coin de la place et s'offrant leurs petits plaisirs, Lui et trois amis à nous. Je rentre à l'hôtel ( parce que oui je transite par l'hôtel en attendant d'avoir l'appartement ) pour faire la visite des lieux et y déposer mes affaires. Puis Il me dit qu'il a quelque chose pour moi et me propose de venir avec lui, ce à quoi je réponds qu'il faut que j'aille faire quatre courses. Chose dite, chose faite. Sauf que la caisse enregistreuse ne marchait plus, on devait choisir nos articles puis les déposer sur une table en attendant d'avoir un ticket de caisse. Le temps de l'attente je sors et Il est là, désormais seul. Je lui dit que je me dépêche. Je rerentre dans le petit magasin et mon ticket est là. Je sors en courant , lui dit que je dépose mes courses, traverse la cour de sable en courant, ( j'ai emménagé dans l'appartement comme par magie ), prend ces petites choses qui Nous font tant plaisir et sors.

C'est la fin, je me réveille.
On dit que les rêves ont une signification ... Aller  *

6 juin 2008

M.

Une seule photo. Puis deux. Toi. En voyage. Proximité insupportable. Moments à toi et siens. Dire " Vous ", t'unir à elle, juste avec ce pronom m'est impossible.
Ne me demande pas pourquoi, je suis effondrée à la simple vue d'une photo où seule ta tête dépasse, près, proche, trop.

Tu m'as tout raconté, je ne voulais rien savoir, ou plutôt rien entendre, j'aurais préféré savoir sans ressentir. Trop tard, je sais tout.

Il t'est maintenant interdit de te plaidre de mes émois après cela. Vous êtes tous des salauds.

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5 juin 2008

Rimo. Noira. Folie haineuse.

Une bonne raison. Je n'en ai pas, comme tu n'en avais pas non plus cette nuit-là. Amie, sortie, buée, et nous aussi. Mon coeur au repos, s'est mis à battre, à m'en faire souffrir. On en revient toujours à lui, le Mâle, devrais-je le vouvoyer ?
Toi aussi, tu t'amusais, à cette soirée entouré de nostalgiques. Cela n'aide pas. Tu décides de les regarder ces photos, fameuses. Nous, d'avant. Tu m'arraches à Morphée, ton coeur contrôlant ta tête qui pense, merci whisky.
Douce langueur qui pénètre mon coeur.
On s'est recrés, Toi, Moi, Nous, Eux.

Derrière toute lumière se cache une ombre.
Noire. Idem à quelques choses près. Ta "pute de passage" comme tu l'appellais, pas moi.
Votre rencontre, votre voyage, pas La notre, pas Le notre.
Et me voilà désarmée, abattue, je suis mâleheureuse. Tu ne descends plus, plus pour cela. Loin les descentes en poids lourds ces soirs de semaine, très loin.
Je retiens ces larmes acides, tu me questionnes, m'accuses. Je pleure, tu pars.

La fuite. Cours, cours, elle te rattrapera toujours. Immortelle.

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25 mai 2008

Simply.

H.E.U.R.E.U.S.E

C'est fou comme se lever tôt, courrir sous la pluie dans le parc, aller chercher le p'tit dèj pour sa famille, prendre un bain brulant, finir une matière de son programme de révisions et faire un crumble qui régale sa maman, c'est fou comme ça peut faire du bien.

Puis le voir aussi, il en fait partie de mon bonheur. Quand même.

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20 mai 2008

Comme On Ment Assez. Je dis la vérité 3.9

Elle était, on ne sait pourquoi, pas bien heureuse ce jour là, mais elle était invitée à une soirée.
Elle hésita à sortir, on ne sait pourquoi, ce soir là.
Elle décida finalement, avec les encouragements de ses amis, de sortir quand même ce soir là.
Elle passa un bon début de soirée avec un ami ce soir là.
Elle a revu un autre ami avec qui elle a des souvenirs psychédéliques, un ami qu'elle n'avait pas vu depuis
longtemps.
Elle était contente d'être venue finalement ce soir là.
Elle était finalement entourée de trois amis, elle partait confiante en R5 cette nuit là.
Elle arriva chez son camarade qui organisait une fête cette nuit là.
Elle comprit que les invités étaient bien plus ennivrés qu'elle cette nuit là et elle voulut les rejoindre dans leurs paradis artificiels.

Elle décida donc de boire un peu plus qu'eux cette nuit là.

Elle s'est réveillée dans une autre ville, une autre région.
Vaseuse.
La vue troublée comme par un matin de grand brouillard.
Un tube dans la gorge.
Des perfusions plein les bras.
Le bip stressant de cette machine qui lui susurrait à l'oreille
" Idiote, idiote, idiote... ".
Un homme pressé qui lui débitait des noms incompréhensibles, des chiffres à virgule et des lettres qui s'y mélangent.
Elle comprit vite. Très vite ce dimanche soir là.

Elle écoutait Chet Baker, la gorge serrée, en se disant qu'elle La mérite même sans Lui, ce mardi soir là.

 

20 mai 2008

Grosse Conne.

Et je pèse et assume tout mes mots, en espérant qu'elle se reconnaîtra un jour.

Il est plus difficile de ne pas jalouser une amie heureuse, que d'être généreuse avec une amie dans le malheur.

17 mai 2008

Presque réussie.

Putain je suis faible. Faible serait-il un synonyme d'amoureuse ?

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J'aime l'Amour. Vous, je vous hais.

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Mlle E  B.
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